Et si j'avais les mots qu'il faut pour accrocher les images...
J'ai eu une période de doute.
Une période où je ne savais plus qui croire, où, quand, comment.
Au fond de moi, mon coeur gigotait pour me dire "hé, ne les écoute-pas"
mais j'étais déstabilisée, tous se servaient des évènements pour la descendre dans mon estime...
tous avaient des choses à lui reprocher, tous avaient des arguments contre elle, tous disaient que je m'étais fait avoir, tous tous tous. Alors j'ai douté, je me suis questionnée, je ne savais plus, j'étais perdue. Les évènements ne m'avaient pas rendue inébranlable, loin de là... et ILS en profitaient...
"Tu nous remercieras. regarde ça. on ne voulait pas te le montrer mais cela montre bien sa perversité". comment aurais-je pu et pourrai-je les remercier ?
Jamais jamais jamais, même si j'ai douté, je ne leur ai donné raison.
Ce soir là j'ai pleuré. au téléphone. assise par terre, sur ma moquette, je restais silencieuse, et les larmes lourdes roulaient sur mes joues.
Me disait-elle la vérité ? en tous cas cela ne me plaisait pas.
"je sais que c'est justement ce que tu ne veux pas entendre, je sais c'est dur, mais il faut que tu l'avales".
Je ne voulais qu'elle, me dise ça. non pas elle. c'était trop dur.
Puis, jour après jour, j'ai repris le dessus, et quoi qu'ILS disent, moi, je savais que notre amour ou en tous cas le mien, déjà, serait plus fort que toutes ces injures, ces jugements, ces cauchemars, ... plus fort que tout.
* JE VOUS AIME *
Une période où je ne savais plus qui croire, où, quand, comment.
Au fond de moi, mon coeur gigotait pour me dire "hé, ne les écoute-pas"
mais j'étais déstabilisée, tous se servaient des évènements pour la descendre dans mon estime...
tous avaient des choses à lui reprocher, tous avaient des arguments contre elle, tous disaient que je m'étais fait avoir, tous tous tous. Alors j'ai douté, je me suis questionnée, je ne savais plus, j'étais perdue. Les évènements ne m'avaient pas rendue inébranlable, loin de là... et ILS en profitaient...
"Tu nous remercieras. regarde ça. on ne voulait pas te le montrer mais cela montre bien sa perversité". comment aurais-je pu et pourrai-je les remercier ?
Jamais jamais jamais, même si j'ai douté, je ne leur ai donné raison.
Ce soir là j'ai pleuré. au téléphone. assise par terre, sur ma moquette, je restais silencieuse, et les larmes lourdes roulaient sur mes joues.
Me disait-elle la vérité ? en tous cas cela ne me plaisait pas.
"je sais que c'est justement ce que tu ne veux pas entendre, je sais c'est dur, mais il faut que tu l'avales".
Je ne voulais qu'elle, me dise ça. non pas elle. c'était trop dur.
Puis, jour après jour, j'ai repris le dessus, et quoi qu'ILS disent, moi, je savais que notre amour ou en tous cas le mien, déjà, serait plus fort que toutes ces injures, ces jugements, ces cauchemars, ... plus fort que tout.
* JE VOUS AIME *
Ecrit par rafaelle-, le Dimanche 1 Mai 2005, 15:58 dans la rubrique Quand le soleil se lève....
Commentaires :
juliete
Comprendo...
Allez, courage ! vous tiendrez !
Avec un tel amour qui se lit dans tes pages, c'est une évidence que vous vous retrouverez pour vous aimer librement...
Mais peut-être doivent-ILS savoir un peu que toi tu tiens toujours à elle ? ou alors doivent-ils garder encore longtemps leurs ornières et croire qu'ILS ont gagné sur elle ? je ne sais pas...
L'essentiel en tout cas c'est que toi tu restes persuadée de votre amour, car après tout, c'est VOTRE histoire, pas la leur... mais ça ILS le comprendront plus tard (trop tard ?...)
PS : le doute est humain, c'est donc tout à fait normal de passer par là...
:)